Ce soir-là Cleo et moi étions sortis avec certains de ses amis. Pour une fois ceux-ci je ne les détestais pas, bon je ne les aimais pas pour autant mais ils étaient supportables de mon point de vue. Nous étions allés dans un petit bar entre l’université et chez nous. Nous avions eu le temps de rentrer pour nous changer, j’avais enfilé ce qui me passait sous la main d’un peu mieux qu’un jogging et un t-shirt. Une fois tous les deux prêts nous sortions de l’appartement pour nous rendre sur le lieu du rendez-vous. Sur le chemin, Cleo étions main dans la main comme à notre habitude mais en arrivant nous devions les lâchées à contre cœur, je lui fis un rapide bisous sur la joue à l'abri des regards avant d’entrer.
La soirée se passais agréablement certainement dû aux verres que nous avions bus via divers jeux d’alcools. J’étais assis à côté de Cléo, l'avait discrètement glissé ma main vers la sienne pour qu’il la saisisse s’il le voulait bien. Sans vraiment m’en rendre compte, je m’étais beaucoup rapproché de lui, posant une main sur sa joue.
« Chaton, tu es tout rouge t' as chaud ? » Demandais-je en riant me doutant bien que c’était à cause de l’alcool. A ce moment je ne me rendais pas compte que les autres nous regardaient et à vrai dire je m’en foutais. Une fois que j’étais certain de son état, je lâchais sa joue pour prendre une gorgée de soju. Je n’étais pas du genre à boire beaucoup mais j’aimais bien un peu de soju de temps en temps, c’était d’ailleurs pour ça que je ne refusais pas les invitations pour sortir boire un verre, enfin c’était surtout pour être avec Cleo, nous faisions toujours tous ensemble alors lorsque nous étions séparés même quelques heures il me manquait terriblement.
Vous étiez sur la même longueur d'onde, comme si cela n'était pas toujours le cas. Lui aussi en avait envie même si vous n'étiez pas sûr de vous, vos gestes étaient timides mais vous ne pouviez pas nier que vous aviez terriblement envie l'un de l'autre, et ce depuis un petit moment sans qu'aucun ne l'avoue.
Et tu avais avoué, les joues rosies que tu voulais être en dessous, pas que tu étais certain d'aimer ça, mais tu savais bien qu’être aussi allait être impossible pour toi, tu n'allais pas oser le toucher de peur de lui faire mal. Tu avais bien vu que cette demande l'avait perturbé et tu ne pouvais t'empêcher de rougir encore plus mais le fait qu'il accepte te rassurais, pas besoin d'argumenter.
Ses mains sur ton corps te brûlaient la peau, jamais tu n'avais ressenti un tel désir et tu ne pensais pas que cela t'arriverait un jour, tu étais totalement ignorant sur le sujet, tu ne savais pas que se toucher de cette façon pouvait être si bon. Alors que ces mains descendaient toujours plus bas, tu commençais à avoir de l'appréhension, t'avais un peu peur d'avoir mal, tu avais bien pensé à essayer de te toucher à cet endroit tout seul mais tu n'avais jamais osé aller jusqu'au bout de ton idée. Tu le regardais attraper le lubrifiant et tu vis son visage encore plus rouge qu'avant, le tien devait être dans le même état et sa phrase te fit sourire.
« Oui t'inquiètes pas... » Répondais tu alors qu'il venait embrasser ton cou, puis doucement il inséra un doigt en toi, cette sensation était étrange, pas désagréable mais étrange mais alors il commença à bouger un petit peu et finalement tu commençais à apprécier, ta respiration s'accélérait en petit peu et après quelques mouvements, Cléo en ajoutait un deuxième et petit à petit, tu te détendais de plus en plus et tes mains se baladaient dans ses cheveux et sur son dos.
« Je crois que je suis prêt... » chuchotas-tu au bout d'un certain temps, toujours aussi gêné, tu te demandais vraiment ce que ça allait faire, d'être connectés de cette façon avec Cléo et tu avais aussi un petit peu hâte.
C’était tout nouveau et très étrange. Cléo n’aurais jamais cru toucher Isaac ainsi, a cet endroit précis. Enfin, peut être légèrement, au moment de ses recherche, son esprit s’était égaré, mais ils s‘était vite repris. Lui-même ne s’étais jamais toucher à cet endroit et il ne savait vraiment pas ce que ça pouvais donner… Et il avait peur de ne pas faire correctement les choses alors il restait bien attentif aux réactions de son petit ami, allant doucement pour essayer de ne pas lui faire mal. Il était rassuré que Isaac ait promis de lui dire s’il avait mal. Il savait qu’il le ferait. Et Cléo n’avait pas envie qu’il n’ose pas le lui dire. Il se sentirais bien trop mal d’avoir fait souffrir son petit ami. Il souria, rassurer, en entendant la respiration du blond s’accélérer, il n’avait pas l’air de souffrir, c’était même le contraire. Il insinua un deuxième doit hésitant, et attendent avant de continuer ce qu’il faisait. C’était vraiment étrange comme sensation. Il sentait les mains de son petit ami dans ses cheveux, son dos c’était agréable, et ça le rassurais aussi un peu.
Il se figea quelques secondes en tendant Isaac dire qu’il était près. Il n’en savait rien, mais il faisait confiance a son petit ami alors doucement avec un dernier baisé dans son coup il s’éloigna, retirant ses doigts. Il se sentait horriblement gêné, il était curieux et en même temps très stresser par la suite. Parce que des doits… ce n’était pas pareil que ce qui allait suivre. Il attrapa un préservatif, galérant un peu à le mettre à cause du stress puis utilisa aussi du lubrifiant. Les joues rouges de gêne il se positionna au-dessus d’Isaac pour l’embrasser.
-Tu me promets, si tu as mal, tu me le dis, et si tu veux qu’on arrête, on arrête, d’accord ? Chuchota-t-il en le regardant dans les yeux.
Il voulais être certain que Isaac sache qu’il s’en fichait qu’il n’y arrive pas aujourd’hui, ils pourraient réessayer une autre fois, ils n’étaient pas pressés. Il effleura les lèvres de son petit ami avant de l’embrasser amoureusement, une nouvelle fois. Puis doucement, après avoir écarté un petit peu plus ses jambes., il commença à s’insinuer en lui. Il faisait vraiment attention à ne pas aller trop vite, ne voulant pas faire mal à Isaac, et restai attentif aux réactions du blond. Entièrement en lui, il s’éloigna juste assez pour regarder son petit ami, en bougeant plus d’un millimètre. Il caressa sa joue, incertain.
-ça va Kitty ? Demanda-t-il inquiet. Tu me dit quand tu veux y alelr, si tu le veux…
C’était si étrange, et si plaisant en même temps d’être relier de la sorte, d’être totalement en Isaac. Cléo n’avait qu’une envie bouger, mais il se l’interdisait pour le moment. Il avait bien du mal a réaliser, ce qui était en train de se passer.
VTu ne l'aurais jamais cru si ce matin-là, on t’aurait dit que le soir même vous en seriez là avec Cleo. Même si tu y pensais de temps en temps jamais tu n'avais osé lui en parler et le peu de fois où sa avait dérapé entre vous, vous n'étiez jamais aller bien loin.
C'était à la fois terrifiant et excitant de te dire que tu arrivais à cette étape de votre relation avec Cleo. Tu n'avais absolument aucune expérience et pourtant tu avais osé lui faire plaisir avec tes lèvres et lui te faisais du bien un peu plus bas. C'était déroutant pour toi de te faire toucher à cet endroit, mais c'était Cleo, il pouvait tout te faire que tu l'accepterais. Mais c'était loin d'être une torture, au contraire il te faisait du bien, à cet instant tu étais en train de fondre entre ses mains. Ta respiration s'accélérait et tes mains s'agrippaient un peu plus à lui, tu n'avais jamais ressenti ça avant et pourtant la seule chose qui traversait ton esprit était que tu en voulais plus. Tu voulais être connecté avec lui, tu voulais faire l'amour avec lui alors tu lui disais finalement que tu étais prêt.
Tes yeux se posèrent sur lui qui avait l'air un peu surpris et tu te disais que tu l'avais peut-être dit trop tôt mais finalement en le voyant tu pouvais voir que lui aussi en avait envie même s'il avait l'air un peu dépassé par la situation. Tu lui souriais tendrement en le rapprochant un peu de toi.
«Je te le promet chaton. » Répondis-tu avant de déposer un baiser sur sa joue.
Une fois qu'il eut recus ton approbation, Cleo t'embrassa amoureusement et tu glissas tes bras autour de son cou alors qu'il s'immisçait doucement en toi, ce n'était pas la sensation la plus agréable que tu avais connu mais tu n'avais pas vraiment mal non plus. Une fois qu'il fut entièrement en toi, il s'arrêta. C'était comme si le monde entier s'était arrêté de tourner à ce moment-là, tu étais lié à Cléo d'une façon à laquelle tu n'aurais jamais imaginé auparavant. Tu sentais que ton coeur allait imploser, c'était presque irréel, tu étais si bien dans ses bras, tu te détendais.
«Oui ça va chaton, tu peux y aller... » Soupirais-tu avant de l'embrasser à nouveau. Alors il commença à bouger et tu te sentais de mieux en mieux, la sensation étrange que tu ressentais laissait place au plaisir, un plaisir qui t'étais jusque-là inconnu. Tes gémissements se faisaient de plus en plus présent, tu étais vraiment bien, tu aimais ça, tu aimais ne faire qu'un avec lui, tu aimais faire l'amour avec Cleo.
Ils y étaient, il avait franchit ce cape que Cléo n’avait jamais imaginer franchir. Du moins pas tout de suite bien qu’il en avait envie. C’était étrange et si agréable d’être relier a son petit ami de la sorte. Il n’aurais jamais imaginer ça. C’était tellement différent et inédit de ce qu’il avait pu ressentir avant. Il se rendais bien compte a quel point les sentiments était important. Si avant, il avait couché avec ses petits amis, pour faire comme tout le monde, maintenant il se trouvait bien idiot. Ce qu’il avait pu ressentir avant était tellement diffèrent et si nul comparé a ce que Isaac arrivait a lui faire ressentir. Il avait l’impression de ne faire qu’un avec Isaac, d’être dans leur bulle, qu’il n’y avait pas de monde extérieur, qu’il étaient seul au monde. C’était indescriptible mais tellement plaisant.
Malgré tout ce qu’il pouvait ressentir, il n’avait qu’une seule chose en tête, c’était Isaac, il voulait être certain que son petit ami n’est pas mal, ou le moins possible. Il ne savais pas comment y faire pour que ce soit le mieux, il avait essayé sans être sure, un peu stresser, mais pourtant Isaac ne semblait pas trop souffrir, et ça le rassurais un peu. Il ocha doucement la tête, ne quittant pas les yeux de son petit ami quand ce dernier lui avoua qu’il pouvait bouger. Leurs lèvres se trouvèrent de nouveau dans un baisé plein d’amour.
-Je t’aime kitty. Chuchota-t-il.
Puis doucement il commença à boguer, se retenant d’aller plus vite pour être sûr que son petit ami n’est pas mal, mais quand il commença à voir que Isaac prenait du plaisir il se laissa aller. Entendre les gémissements de Isaac résonner avec les siens. C’était si bon, Isaac était si bon, tu n’étais pas certain que tu allais tenir bien longtemps. Tu te perdais totalement dans votre échange. Vous faisiez l’amour et c’était merveilleux.
-Isaac. Gemit-il.
Il sentais qu’il approchait de la fin alors maladroitement il glissa sa main entre eux pour caresser le membre d’Isaac alors qu’il embrassait Isaac. Puis dans un dernier gémissement il atteignit le septième ciel avant de se laisser tomber contre Isaac, fatigué. Il papillonna des yeux, ne réalisant pas vraiment ce qu’il venait de se passer.
-Je… c’était… wouah… Il murmura dans le coup du blond ayant du mal a s’exprimer, puis il osa demander timidement. Tu va bien ?
Tu avais l'impression que ton cœur allait exploser. Tu avais bien du mal à réaliser ce qui était en train de se passer entre toi et Cléo à ce moment-là. Vous ne faisiez qu'un, vous étiez connecté, vous ne faisiez qu'un à cet instant. Cléo prenait si soin de toi tu pouvais sentir ton cœur fondre dans ta poitrine. Il attendit que tu lui donne le feu vert pour continuer et une fois que tu fus habitué à lui, tu le lui donnais et il venait t'embrasser.
«Je t'aime aussi Chaton. » Répondis-tu en te perdant dans cet échange. Plus les mouvements s'enchaînaient, plus tu ressentais du plaisir, ce plaisir indescriptible qui te comblait de bonheur. Tu aimais ce que tu ressentais, tu aimais voir le visage de Cléo, rougie par le plaisir qui te regardais avec tant d'amour. Faire l'amour avec lui étais quelque chose d'incroyable, tu te demandais si tu n'allais pas devenir accro.
L'entendre gémir ton nom de cette façon te fait bouillonner de l'intérieur, sa main venait caresser ton membre et cela, ajouter au plaisir qu'il te procurait déjà signais ta fin, tu te perdais totalement dans le plaisir. Tu atteignais l'orgasme gémissant son prénom a ton tour.
Tes bras entouraient son corps contre le tien alors que tu essayais de te remettre de tes émotions. Tu prenais déjà ton souffle, tu te sentais tellement bien à cet instant.
«Ouais... C'était woah. Je vais bien ne t'inquiètes pas Chaton, je vais même plus que bien, c'était super, t'étais super Chaton. » Disais-tu finalement. Tu n'aurais jamais pensé que faire l'amour avec Cléo serait aussi incroyable, peut être que c'était parce que c'était ta première fois, mais tu savais que c'était bien plus que ça. «Et toi ça va ? » Demandais-tu en retour même si tu te doutais bien qu'il allait bien. Puis tu fus pris de quelques doutes assez rapidement, tu repassais les évènements qui vous avez amené ici et tu te mis à rougir violemment.
«Je-je j'étais pas trop bizarre, j'ai fait des trucs... Je suis un pervers non ? Pour avoir aimé faire ça ? Euh enfin oublie ce que je viens de dire ! » Lançais tu un peu précipitamment, tu étais rouge de honte d'avoir dit ça à voix haute, toi qui voulais vérifier si tu étais pas bizarre l'était encore plus après l'avoir dit.
Ce que Cléo avait ressentit était indescriptible. Ce serait probablement l’un de meilleurs souvenir de sa vie, avec la déclaration d’amour que lui avais fait Isaac. Il aimait tellement son petit ami, et là, ils étaient en parfait symbiose. Ce plaisir qui avait inondé son corps, le plaisir qu’il pouvait voir sur le visage d’Isaac, cette amour qu’il avait l’impression e ressentir par tous les ports de sa peau… C’était simplement merveilleux. Et il n’arrivais pas à mettre de mots dessus. Il avait aimé ce moment avec Isaac, ça avait été parfait, il n’aurais pas pu rêver mieux pour leur première fois. Tout étais si irréel a ses yeux qu’il avait bien du mal a s’ne remettre, a réaliser. Ils avait passé un cap, dans leur relation, mais il ne le regrettais pas le moins du monde. Et puis, c’était la suite naturelle des choses, non ?
Allongé contre le corps de son petit ami, Cléo reprenait doucement sa respiration, il pouvais sentir le corps d’Isaac battre aussi rapidement que le sien, et sa cage thoracique se lever aussi rapidement que la sienne. Leur peau étaient légèrement transpirante l’une contre l’autre, mais ça ne dérangeait pas le moins du monde le brun. Non, il était juste bien, la, contre Isaac, entouré de ses bras. Un grand sourire s’étira sur ses lèvres en l’entendant parler, et il déposa un baisé dans le coup du blond.
-Je vais très bien, et toi aussi tu étais super Kitty.
C’était finit, et il n’arrivais pas à enlever tout plein d’image de sa tête, il se repassait le moment, n’arrivant pas à croire qu’ils l’avaient réellement fait. Ça n’avait peut-être pas été parfait, un peu maladroit même et très gênant, mais a final, tout c’t=était bien passé alors Cléo préférais retenir ça, c’était le plus important. Cléo se redressa en entendant Isaac commencer à parler rapidement, presque paniqué. Il regarda son petit ami avec un sourire rassurant, bien que ses joues était un peu rouge de gêne puis il passa une main sur sa joue pour la caresser.
-Kitty, t’a rien fait de bizarre, calme-toi. Il de posa un bisou sur le bout de son nez avant de continuer avec une légère timidité. C’était très bien… ok-ok ? Et je crois que c’est… normal ? d’aimer ça je veux dire. Enfin, c’est ce que j’ai cru lire… C’est juste que moi, je n’osais pas trop… il se mordit la lèvre avant de d’enfouir sa tête dans son cou. Ne t’inquiète pas pour ça.
Puis il réalisa qu’il ne s’était toujours pas retiré, trop perturbé par ce qu’il venait de se passer, alors avec gêne, il se retira de son petit ami et jeta la capote. Puis il alla attraper des mouchoirs pour essuyer les traces de ce qu’ils avait fait, els joues rouges. Ça rendais els choses si réel, qu’il avait du mal à rester de marbre. Puis il s’allongea de nouveau contre Isaac cachant son visage comme pour cacher son embarras.
Tu peinais à réaliser ce que vous aviez fait, ça avait été incroyable, merveilleux même. Tu n'avais jamais pensé que ce serait aussi bien. Mais alors que tu repensais à ce que vous aviez fait et tu réalisas que tu avais peut-être été trop loin. Tu avais osé faire beaucoup de choses et tu avais peur que Cleo t'ai trouvé bizarre. Mais apparemment ce n'étais pas le cas, au contraire il te rassurait. Alors lui aussi avait fait des recherches, vous aviez vraiment eu les mêmes réflexes et cela te faisait sourire.
«D-d'accord... » Répondis-tu toujours aussi rouge. Et finalement il se retira, te laissant une drôle sensation de vide. Tu te redressas un peu alors que Cleo venait t'aider à nettoyer le bazar. Puis vous vous recouchiez tous les deux l'un contre l'autre, le visage de Cleo dans ton cou. Sa question te perturba, tu te disais que tu n'avais vraiment pas fait attention à ça. Tu avais complètement oublié les voisins.
«L'immeuble est super bien isolé, je ne pense pas. » Enfin surtout tu l'espérais, voulant te convaincre toi même qu'on ne t’avait pas entendu dans un moment si intime. Tu glissais ta main dans ses cheveux, lui faisant quelques papouilles. «Je t'aime Cleo. » Puis tu baillas entourant ton bras contre lui. « Fait de beaux rêves. » Soufflais-tu alors que tu sombrais dans le sommeil.
Tu fus réveillé par le bruit de la sonnette de votre appartement. Tu émergeas difficilement et c'est la tête dans les nuages que tu enfilas un boxer et un jogging avant d'aller ouvrir la porte. Tu tombas directement sur vos deux mères qui apportaient apparemment le petit déjeuner. Ça te réveilla d'un seul coup, tu ne les invitas pas vraiment à entrer mais elles te passèrent devant.
«Je vais allez réveiller mon bout de chou ! » S'exclama la mère de Cleo. C'est alors que la panique commença à t'envahir. Cleo était dans ton lit, complètement nu. Impossible de la laisser voir ça. Tu te précipitas devant ta chambre pour faire barrage.
« Non ! t'exclamas-tu sans réfléchir. C'est que... Il est très fatigué, il s'est endormi tard, laisse-le dormir. » C'était la seule chose qui t’était venue à l'esprit. Mais avec ce mensonge pas réfléchis tu te rendais compte que tu ne pouvais ni allez le réveiller toi-même, ni le prévenir de la situation. Et avec ça tu ne te rendais pas compte que tu portais les marques de vos ébats dans ton cou.
Ça avait été merveilleux, mais maintenant que c’était passé, certaine peur reprenait le dessus. Isaac qui craignait d’avoir été bizarre, Cléo qu’on les ait entendus… Et malheureusement, ils n’avaient absolument pas pensé à ça lorsque qu’ils avaient commencez à aller plus loin, c’était même le dernier de leur souci. Mais ils auraient peut-être dû s’ne préoccuper en sachant qu’il habitait dans un immeuble principalement habiter par des loups garous, avec qui ils avaient un lien de meute… L’immeuble était peut-être hein isolé pour des humains, mais des loups garous a l’oui fine ? c’était une autre histoire. Cléo priait vraiment pour que leur voisin de palier n’ait rien entendu, car si non, il savait d’avance que toute la meute serait vite au courant.
-J’espère. Répondit-il , enfouissant un peu plus sa tête contre son petit ami. Je t’aime aussi Kitty.
Cléo ne tarda pas a d’endormir, bercer par la respiration d’Isaac contre lui et la fatigue qui lui tombais dessus. Quand il se réveilla, c’est a cause de l’agitation qu’il avait l’impression d’entendre, il fronça les sourcils en sentant que son petit ami n’était pas dans les draps avec lui… après ce qu’il avait fait hier, il aurait bien aimé un réveil tout en douceur avec Isaac. Minutes… ce qu’ils avait fait hier ? Cléo rouvrit d’un coup les yeux en réalisant qu’ils avait coucher ensemble. Ça pour réveiller, ça l’avait bien réveillé. Il se redressa, remarquant dans la peine ombre qu’il était effectivement totalement nu et il rougit au souvenir de la veille. Puis il entendit des voix et son cœur ce mit à accélérer. Qu’est ce qu’il était en train de se passer au juste ? Pourquoi Isaac n’était pas avec lui, et pourquoi il y avait des gens chez lui ? en se concentrant un peu il arriva a distingué les vois de leur mères… et son sang quitta son visage. Ils était dans la merde. Cléo n’avait aucune idée de ce qu’il se passait, mais il savait qu’ils étaient dans la merde. Lui qui aurait aimé un réveil tranquille pour se remettre de son émotion c’était loupé. Il aurait bien voulu continuer à faire semblant de dormir, mais in était bien trop stresser pour ça et il ne voulait pas laisser Isaac seul face à leur monstre de mère. Elle pouvait être terrifiante par moment.
Il se releva, ignorant sa nudité pour attraper un short a Isaac, ils étaient dans sa chambre après tout, puis vint le problème des marques. Un coup d’œil au miroir et il se demanda bien comme il allait pouvoir les cacher cette fois ci. Ce n’était pas comme s’ils étaient en hiver et qu’il pouvais mettre un pull cole roulé naturellement… Surtout qu’il ne portait pas ce genre de vêtement pour trainer. Contraint, il attrapa l’un des sweats de Isaac et enfila la capuche. Avec un peu de chance, l’ombra cacherait en partie, et puis, c’était ce qui passerais le mieux.
Avec hésitation, il franchit la porte, essayant de garder son air fatigué et il tomba sur Isaac et leur mère dans le salon… Et le brun paniqua totalement en se rendant compte que son petit ami était torse nu, exhibant ses marques sans même s’en rendre compte.
-Maman, qu’est ce que vous faites la ? Demanda-t-il d’une voie fatiguée.
Essayant de garder son calme, il ne pouvais pas faire comme la denrière fois, il attrapa un haut qui trainait pour le donner a Isaac de manière naturelle puis alla embrasser les jours des deux femme présente. Il alla ensuite s’installer a côté d’isaac, enroulant son bras autour de ses épaule comme pour cacher un peu les marques.
Quelle étaient les probabilités pour que vos mères décident de vous rendre une petite visite le lendemain de votre première fois ? Tu commençais a te penser maudit avec ces deux-là. Toi qui rêvais d'amener le petit déjeuner au lit à Cléo c'était raté et en beauté.
Tu avais quand même réussi à éviter que la mère de Cleo tombe sur son fils nu dans ton lit. Mais c'est à ce moment que la belle au bois dormant se décide à franchir la porte de la chambre. Tu posas les yeux sur Cleo enrouler dans ton sweat, il était adorable, tu avais envie de le couvrir de câlins mais ce n'étais pas vraiment le moment. Ce n'est que lorsqu'il te tendit un haut que tu réalisas que tu avais exhibé les marques de la veille sans même t'en rendre compte. C'était foutu, elles avaient tout vu, t'allait avoir le droit a une pluie de questions.
«On a pas le droit de venir vous apporter le petit déjeuner ? » Demandas ta mère avec ce faux air innocent que tu commençais à connaître. Vous vous étiez installé dans le salon et Cleo t'entourais de ses bras, automatiquement ton bras c'était glisser autour de sa taille.
«Alors Isaac c'est quoi ces marques, et me dit pas un esseins de moustique sinon tu te prends ce porridge dans le visage. » Demandas ta mère assez sérieusement. « Tu as une copine ? »
«Non ! » T'exclamais-tu sans réfléchir. « Pourquoi est ce qu'il doit toujours s'agir d'une copine » marmonnais tu à voix basse. «C'est perso, j'ai pas a tout te dire. » Répondis tu un peu énervé.
Mais finalement ce fut la mère de Cleo qui chercha à calmer le jeu.
«Bon les garçons, je pense que ce cinéma ça suffit, vous pensez vraiment qu'on ne le sait pas ? On vous a fait vous savez, nous les mamans on peut voir ce genre de choses. » Souffla-t-elle. Tu écarquillas les yeux en grand, est ce qu'elle parlait vraiment de ce que tu pensais.
Le calme apparent, il tait totalement paniquer intérieurement. Si la dernière fois il n’avait pas eut le temps de se préparer mentalement, la ce n’était pas le cas, il avait eut quelque minute pour se dire de faire attention, pour réfléchir. Bon, pas sur qu’il soit le plus doué, quand il s’agissait de Isaac et lui, sa capacité a mentir convenablement avait tendance a disparaitre. Mais il ne pourrait de toute manière pas faire pire que la dernière fois. Vraiment, c’était le pire matin pour qu’elle débarque, juste après votre première fois, à croire qu’elle l’avaient fit exprès… oh merde, tu ne l’espérait pas, car ça voudrait dire qu’elles savent. Elle apportaient juste le petit déjeuner ? pourquoi tu avais du mal a y croire… elles paraissaient trop innocentes pour que ce soit vrai.
-Oh si si, je suis juste surpris. Répondit Cléo, perturbé.
Le bras autour des épaules de Isaac, se dernier avait enrouler le sien autour de ta taille. C’était si naturelle, ça avait toujours été comme ça entre eux, qu’il essayait de ne pas paniquer à l’idée que leur mère les regardaient. Il se retient de grimacer en entendant la mère de Isaac attaquer… évidement que l’excuse de la dernière fois n’était pas passé… et il n’avait aucune idée de ce qu’ils allaient bien pouvoir inventer cette fois ci. Connaissant vos leur mères, alles n’allaient pas lâcher le morceau facilement. En voyant Isaac commencé à s’énerver, Cléo passa une main sur celle de son petit ami, pour le calmer, ça ne servait a rien qu’il se dispute avec sa mère maintenant… et puis, il n’aimait pas les voir se disputer. Mais la caresse que le brun exerçait sur la main de son petit ami s’arrêta d’un seul coup en entendant sa mère parler. Il sentit le sang quitter son visage alors qu’il remontait ses yeux paniquer vers sa mère… Non, elles ne pouvaient pas être au courant, ce n’était pas possible ?
-Savoir quoi ? Marmonna-t-il fébrile. -Cléo. Le gronda sa mère.
Il baissa les yeux en se collant un peu plus a son petit ami. Il n’étai pas sure a cent pour cent que sa mère parlait vraiment de ça, mais vue leur parole, c’était le plus logique. Et au pire, elles l’auraient bien appris un jour.
-On voulais le garder pour nous. Répondit-il timidement. Vous n’êtes pas dégouté ? ou en colère ?
Ils n’osait pas affronter leur regard, non, il préférait entrelacer ses doigts a ceux d’Isaac pour se donner du courage. Après tout, ils avaient été élevés come des frères, depuis tout petit, donc qu’ils aient développer ce genre de sentiment, ça n’étonnerais pas Cléo que leurs mères n’apprécient pas ça.